Whistler, l’effet papillon
article : par Bénédicte Bonnet Saint-Georges / LA TRIBUNE DE L’ART / 17-07-2024
C’est une gageure que de vouloir révéler l’influence d’un artiste sans montrer les œuvres charnières de sa carrière. Le Musée des Beaux-Arts de Rouen prend le risque avec James Abbott McNeill Whistler. Ni la célèbre « Symphonie en blanc n° 1 » (1862) ni la fameuse « Nocturne en noir et or : la fusée qui retombe » (1875) n’ont fait le déplacement, peut-être trop fragiles ou trop iconiques pour être prêtées…